Briefe me if you can

2019. Buzzman est sélectionné pour rebâtir le marketing de Jennyfer. L’enseigne pour ado prépubères se voit proposer un concept très surprenant :

TUER LA MARQUE !

Pour faire naitre une nouvelle identité :

« don’t call me Jennyfer ».

La marque accepte. Incroyable.

Pour en savoir + 👉 article CB NEWS

Résultats ?

En 1 an, la nouvelle marque « Don’t Call Me Jennyfer » devient leader en valeur sur le segment des jeunes filles entre 10 et 14 ans et pointe en 2ème position en volume pour les 15-19 ans !

Comment expliquer une telle réussite ?

1.    L’annonceur a la profondeur, la vision marché. L’agence a l’expertise, le recul.

L’annonceur est un néophyte qui comprend que fifre à la com/ au marketing.

Faux.

L’agence n’est composée que de divas perchées qui veulent vendre des concepts lunaires.

Encore faux.

Passons les stéréotypes.

Personne ne connaît mieux que l’annonceur son produit, son marché, ses évolutions, les valeurs de son entreprise, etc… L’équation se pose ainsi : (Business + stratégie) x cahier des charges = future agence.

L’agence a, quant à elle, un spectre élargie grâce à de multiples projets, de multiples problématiques clients et offre ainsi une vision périphérique à l’annonceur. Son équation est la suivante : Créativité + stratégie média = new business annonceur

L’agence c’est le psy de l’annonceur. L’entité extérieure qui insuffle des idées fraiches, des concepts novateurs.

Une somme des compétences de part et d’autre donc, qui une fois additionnées permettent de créer des campagnes ultra-performantes.

Dixit Buzzman + Don’t Call Me Jennyfer

2.    la confiance.

Ok. Vrai.

La relation entre « Buzzman + Don’t Call Me Jennyfer » est sans doute le BEST OF THE BEST des preuves de confiance entre un annonceur et son agence 👉 La preuve avec l’interview entre le PDG de la marque et le PDG de l’agence 🎤

pourquoi faire confiance à son agence.

  • pour entendre de nouveaux concepts parfois éloignés de son cahier des charges.
  • pour partager ses doutes, ses opportunités, son environnement, ses attentes.
  • pour être accompagner avec vigueur et sérénité.

pourquoi faire confiance à son annonceur.

  • pour ne pas être effrayé à l’idée de proposer des concepts innovants et se faire blacklister sans ménagement.
  • pour gagner du temps.
  • pour être performant.

3.   le temps.

Einstein l’a multiplié à l’espace, il joue contre nous, il est parfois instable.

Le temps est un facteur clé dans une campagne de communication. L’annonceur en a peu. L’agence en souhaite davantage.

Un paradoxe qui peut occasionner l’incompréhension, le stress.

Le bon timing est multifactoriel, certes, mais il existe des basiques.

  • pas de conclusion, ni réunion de crise après seulement 48h de campagne.
  • suivre les KPI (keys performances indicators) et les optimiser la campagne en temps réel.
  • Ne pas cacher des résultats moyens voire faibles. Échanger le + tôt possible avec son client pour comprendre le contexte & imaginer des solutions.
  • des points réguliers… Oui. Des points toutes les 45mn… improductif.

4.    résultats & objectifs communs

La réussite de la campagne se situe ou ?

Être alignés sur des éléments concrets d’évaluation de campagne est ESSENTIEL.

Pour être clair, il faut être d’accord (en amont du lancement bien sûr…) sur les objectifs à atteindre.

Alors oui, ça parait candide. C’est SO important.

Il faut éviter le « on est déçus » de la part du client alors que toi, agence, tu arrivais à la réunion top confiant voire super fier des résultats.

Trouver un consensus devient alors parfaitement impossible.

Quels sont les objectifs ?

Développement de notoriété, acquisition de trafic, génération de leads… Soyez le plus précis possible et posez le cadre. Mettez-vous d’accord avec l’agence sur les KPI à analyser, les buts à atteindre et le niveau de détail exigé. Préciser la fourchette de ROI ou ROAS attendue… Plus le contrat sera clair, moins il y a de la place aux interprétations subjectives.

Envie de nous briefer ? C’est ici !